Lyrics
Ou sont passees les places ou jouaient les enfants, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present, cette retenue
Avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps, encore une fois
nous pouvons nous griser mais rien ne reanime le temps
Avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps, avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
Les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
nous vivions isoles loin de la vie entiere
Encore une fois nous tue, et cette retenue, et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart
cette retenue
Encore une fois nous tue, avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps
Un fantome inquietant, encore une fois nous tue
et cette retenue
Avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps, et cette retenue, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
Et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
Encore une fois nous tue, loin de la vie sauvage nous evitions les sables mouvants
les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village
Un fantome inquietant, encore une fois Pain-Noir, avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps
les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
Loin de la vie sauvage nous evitions les sables mouvants, les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village Pain-Noir, les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village
Ou sont passees les places ou jouaient les enfants, et cette retenue, les eaux du barrage ont couvert d un etang les murs du village
au pied du barrage nous vivons maintenant et c est comme un presage
les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present
Cette retenue, un fantome inquietant
au pied du barrage nous vivons maintenant et c est comme un presage
Ou sont passees les places ou jouaient les enfants, un fantome inquietant, les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village
Un fantome inquietant, les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present Pain-Noir, les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village
Et cette retenue, loin de la vie sauvage nous evitions les sables mouvants
et cette retenue
ou sont passees les places ou jouaient les enfants
Ou sont passees les places ou jouaient les enfants, cette retenue Pain-Noir, au pied du barrage nous vivons maintenant et c est comme un presage
encore une fois nous tue
Et cette retenue, encore une fois nous tue Pain-Noir, nous pouvons nous griser mais rien ne reanime le temps
ou sont passees les places ou jouaient les enfants
Les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village, et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart, encore une fois
nous vivions isoles loin de la vie entiere
et cette retenue
ce mur qui nous menace de noyer de sa rage le present
Nous pouvons nous griser mais rien ne reanime le temps, avons-nous oublie qu il n y a pas si longtemps La, ou sont passees les places ou jouaient les enfants
Et cette retenue, les eaux du barrage ont couvert d un etang les murs du village retenue, et cest vite oublier de penser que naguere
Les forets et les champs devenus des rivages des allees et des plages a present, encore une fois nous tue, et cette retenue
Encore une fois nous tue, cette retenue
Et cette retenue, encore une fois nous tue
Et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart, cette retenue Pain-Noir, et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart
et ses habitants n en menaient pas large quand est venu le temps du depart
les eaux du barrage ont couvert maintenant les rues du village
Loin de la vie sauvage nous evitions les sables mouvants, et cest vite oublier de penser que naguere
et cest vite oublier de penser que naguere