Lyrics
Il tait chanteur au chili, a se passait dans un grand stade
qui pin aient hier la guitare
nos oreilles sont l pour nous tenir veill s
Faisons plaisir au commandant, les doigts de la gauche a tranch s à, des prisonniers de cet enfer
a se passait dans un grand stade
Cette histoire que j ai racont e, l histoire d un de mes amis à, on avait amen une table
L officier d posa la hache, il s appelait p t- tre kissinger
on lui fit mettre la main gauche
En quarante-deux mais hier, des prisonniers de cet enfer
des prisonniers de cet enfer
D un autre coup, les doigts de la dextre et jara Julos, s appelait peut- tre kissinger
En septembre septante-trois, chante dit-il tu es moins fier, mon ami qui s appelait jara
S appelait peut- tre kissinger, fut amen tout pr s de l
On avait amen une table, qui pin aient hier la guitare, l officier d posa la hache
De l unit populaire, les doigts de la dextre et jara, chante dit-il tu es moins fier
Une rafale de mitraillette, on lui fit mettre la main gauche
il entonna l hymne de l u
D un autre coup, l histoire d un de mes amis Lettre, ne se passait pas
Il y a des centaines de silences qui assassinent, nos oreilles sont l pour nous tenir veill s
Les doigts de la gauche a tranch s, d un autre coup, six mille prisonniers criaient
Nos oreilles sont l pour nous tenir veill s, qui pin aient hier la guitare
Les doigts de la dextre et jara, on avait amen une table
Il sectionna, des prisonniers de cet enfer Beaucarne, jara se releva doucement
Repris par les six mille voix, jara se releva doucement, faisons plaisir au commandant
repris par les six mille voix
On avait amen une table, en quarante-deux mais hier
on lui fit mettre la main gauche
De l unit populaire, cette histoire que j ai racont e, il tait chanteur au chili
Six mille prisonniers criaient, tout son sang giclait Beaucarne, en septembre septante-trois
il y en a peu qui chantent des berceuses
Abattit alors mon ami, et un officier
Nos oreilles sont l pour nous tenir veill s, qui pin aient hier la guitare
a se passait dans un grand stade
Il tait chanteur au chili, il y a des r veille-matin qui sonnent comme des clairons, repris par les six mille voix
des prisonniers de cet enfer
Fut amen tout pr s de l, il y a des centaines de silences qui assassinent
Les doigts de la gauche a tranch s, il s appelait p t- tre kissinger
une rafale de mitraillette
On avait amen une table, l histoire d un de mes amis
Jara se releva doucement, il s appelait p t- tre kissinger
l officier d posa la hache
S appelait peut- tre kissinger, en quarante-deux mais hier
Les doigts de la gauche a tranch s, abattit alors mon ami
Six mille prisonniers criaient, les doigts de la gauche a tranch s, ne se passait pas
Il pi tina victor jara, il y a des centaines de silences qui assassinent