Lyrics
des l vres d luard s envolent des colombes
que je chante jamais celle des travailleurs
en remplissant l histoire et ses fosses communes
Je n en finirai pas d crire ta chanson, a l affiche qu on colle au mur du lendemain
A l affiche qu on colle au mur du lendemain, quelque chose dans l air a cette transparence
De ce que j ai v cu ce que j imagine, celle qui chante en moi la belle la rebelle Jean, de ce que j ai v cu ce que j imagine
Au grand soleil d t qui courbe la provence, des l vres d luard s envolent des colombes, des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che
A l affiche qu on colle au mur du lendemain, de plaines en for ts de vallons en collines Ma, et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che
aux peuples trangers qui donnaient le vertige
Quelque chose dans l air a cette transparence, leurs voix se multiplient n en plus faire qu une
quelque chose dans l air a cette transparence
cet air de libert au-del des fronti res
Celle de trente-six soixante-huit chandelles, pour la lutte obstin de ce temps quotidien
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines, celle qui construisit de ses mains vos usines
Celle de trente-six soixante-huit chandelles, que je chante jamais celle des travailleurs, pour la lutte obstin de ce temps quotidien
Celle qui construisit de ses mains vos usines, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines, du printemps qui va na tre tes mortes saisons, aux peuples trangers qui donnaient le vertige
Celle dont monsieur thiers a dit qu on la fusille, cet air de libert au-del des fronti res
de plaines en for ts de vallons en collines
Des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che, et dont vous usurpez aujourd hui le prestige
Celle qui construisit de ses mains vos usines, elle tient l avenir Jean, de dire qu il est temps que le malheur succombe
Des enfants de cinq ans travaillant dans les mines, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs France, elle tient l avenir
celle de trente-six soixante-huit chandelles
au grand soleil d t qui courbe la provence
Celle qui ne poss de en or que ses nuits blanches, pour la lutte obstin de ce temps quotidien
du journal que l on vend le matin d un dimanche
Et dont vous usurpez aujourd hui le prestige, a l affiche qu on colle au mur du lendemain
Et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che, celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs, celle de trente-six soixante-huit chandelles
Et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che, elle tient l avenir
Celle qui ne poss de en or que ses nuits blanches, qu elle monte des mines descende des collines
ils n en finissent pas tes artistes proph tes
Leurs voix se multiplient n en plus faire qu une, leurs voix se multiplient n en plus faire qu une
des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
de dire qu il est temps que le malheur succombe
De plaines en for ts de vallons en collines, je n en finirai pas d crire ta chanson, des l vres d luard s envolent des colombes
Serr dans ses mains fines, de plaines en for ts de vallons en collines
De dire qu il est temps que le malheur succombe, celle de trente-six soixante-huit chandelles
Serr dans ses mains fines, du journal que l on vend le matin d un dimanche, elle r pond toujours du nom de robespierre
Du printemps qui va na tre tes mortes saisons, ils n en finissent pas tes artistes proph tes
Des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che, cet air de libert au-del des fronti res, des gen ts de bretagne aux bruy res d ard che
du journal que l on vend le matin d un dimanche
Celle qui chante en moi la belle la rebelle, ils n en finissent pas tes artistes proph tes
Au grand soleil d t qui courbe la provence, celle qui construisit de ses mains vos usines, au grand soleil d t qui courbe la provence
de ce que j ai v cu ce que j imagine
elle tient l avenir
des enfants de cinq ans travaillant dans les mines
Je n en finirai pas d crire ta chanson, celle de trente-six soixante-huit chandelles
Serr dans ses mains fines, pour la lutte obstin de ce temps quotidien
celle qui paie toujours vos crimes vos erreurs
des l vres d luard s envolent des colombes
Et ce go t du bonheur qui rend ma l vre s che, du printemps qui va na tre tes mortes saisons
celle de trente-six soixante-huit chandelles