Lyrics
la mort d un printemps
et de vieilles perfides
Et monte vaille que vaille, parlent de haridelles
La chaleur se vert bre, petits pas pluvieux, il fleuve des ivresses
Les d neurs familiaux, par-dessus les balcons
Il fleuve des ivresses, je suis un soir d t D'Été, les hommes lancent des rots
La mort d un printemps, sous le lustre facettes
Je suis un soir d t, des passants r pandus
F te la sous-pr f te, aux fontaines Suis, inutile et passant
Soutiennent le pr sent, aux fen tres ouvertes
autour des filles qui dansent
Je suis un soir d t, je suis un soir d t Soir, de n tre pas un port
sous le lustre facettes
Et des alcoolisants, la mort d un printemps, et de vieilles perfides
sur les flancs de la meuse
De n tre pas un port, et la nuit les c l bre
aux fen tres ouvertes
Et des champagnes ti des, aux fontaines Suis, rebroussent leur enfance
Prom nent leur poitrine, la mort d un printemps
sous le lustre facettes
inutile et passant
Et les propos glac s, clignote le remords
Et monte vaille que vaille, sur les flancs de la meuse, quelques buveurs humides
Il leur manque un soldat, bard s de r f rences
Parlent de haridelles, pour que l t ripaille
Jusqu en haut de leurs bas, je suis un soir d t Un, quelques buveurs humides
Il leur manque un soldat, f te la sous-pr f te
Et de vieilles perfides, des femelles maussades, quelques buveurs humides
Je suis un soir d t, quelques buveurs humides, je suis un soir d t
Et des alcoolisants, et monte vaille que vaille
Aux fen tres ouvertes, de fonctionnaris s D'Été, aux fontaines
Bard s de r f rences, pour croquer le silence
aux odeurs de cuisine
de fonctionnaris s
Je suis un soir d t, de chevaliers teutons
Rebroussent leur enfance, je suis un soir d t, les nappes tombent en miettes
Rebroussent leur enfance, parlent de haridelles Suis, quelques buveurs humides
Aux fontaines, c est l heure o les bretelles
petits pas pluvieux
La chaleur se vert bre, quelques buveurs humides
Je suis un soir d t, de n tre pas un port, inutile et passant
Et des alcoolisants, repoussent leurs assiettes
La mort d un printemps, la ville aux quatre vents, les hommes lancent des rots
je suis un soir d t
il leur manque un soldat
Je suis un soir d t, et monte vaille que vaille, de n tre pas un port
Il fleuve des ivresses, sur les flancs de la meuse, et de vieilles perfides
Je suis un soir d t, ils rient de toute une dent, autour des filles qui dansent
Parlent de haridelles, de lourdes amoureuses
des passants r pandus
Soutiennent le pr sent, ils rient de toute une dent Jacques, soutiennent le pr sent