Lyrics
Et je croise des vieillards qui font la sentinelle, et mes fleurs qui se tordent sous les lectrochocs, et je vais voir ailleurs
j ai gard mon turbo pour d foncer les portes
j ai gard mon turbo pour d foncer les portes
Et je vais voir ailleurs, je balance mes buvards et tire sur la ficelle, et je me dis stop
m annon ant la nouvelle de son dernier combat
Et je vends des compresseurs mes ladies-bromure, et me demandent si j ai pas des cachous pour la nuit, m annon ant la nouvelle de son dernier combat
j appuie sur le starter
j appuie sur le starter
Je mendie l oxyg ne aux sorties des cinoches, et je me dis stop
mais je remonte mon col
Mais je remonte mon col, je piaffe et m impatiente au fond des starting-blocks
quand on se tape la bascule en gommant nos ann es
En buvant des caf s dans les stations-service, et je vais voir ailleurs
quand on se tape la bascule en gommant nos ann es
Et je me dis stop, et je vends des compresseurs mes ladies-bromure
Je m arr te pour mater mes corbeaux qui d jeunent, elle me dit que la nuit l a rendue trop fragile
m annon ant la nouvelle de son dernier combat
Je piaffe et m impatiente au fond des starting-blocks, et je croise des vieillards qui font la sentinelle, et je me dis stop
Mais parfois il me reste que les violons pour pleurer, je piaffe et m impatiente au fond des starting-blocks, et je me dis stop
j appuie sur le starter
et je me dis stop
et je me dis stop
J appuie sur le starter, mais je remonte mon col
Elle me dit que la nuit l a rendue trop fragile, encore plus loin ailleurs Hubert-Félix, et moi je lis ses lettres le soir dans la temp te
Et je vais voir ailleurs, et je me dis stop Hubert-Félix, encore plus loin ailleurs
et je prom ne son masque au fond de mes sacoches
elle m envoie des cartes postales de son asile
et je mesure le temps qui nous apoplexie
Elle me dit que la nuit l a rendue trop fragile, mais je remonte mon col
J appuie sur le starter, je m arr te pour mater mes corbeaux qui d jeunent
Elle me dit que la nuit l a rendue trop fragile, et je me dis stop, quand on se tape la bascule en gommant nos ann es
Et je me dis stop, et moi je lis ses lettres le soir dans la temp te
Quand on se tape la bascule en gommant nos ann es, et j imagine le rire de toutes nos cellules mortes, avec le n gatif de nos photos futures
Mais je remonte mon col, et qu elle veut plus ramer pour d autres guernica, et mes fleurs qui se tordent sous les lectrochocs
Mais je remonte mon col, encore plus loin ailleurs
Il est bient t minuit mais je fais beaucoup plus jeune, et je mesure le temps qui nous apoplexie Autoroutes, je m arr te pour mater mes corbeaux qui d jeunent
et je mesure le temps qui nous apoplexie
Et je vais voir ailleurs, et me demandent si j ai pas des cachous pour la nuit, en buvant des caf s dans les stations-service
Elle me dit que la nuit l a rendue trop fragile, mais je remonte mon col
et je me dis stop
Je m arr te pour mater mes corbeaux qui d jeunent, en buvant des caf s dans les stations-service
Mais je remonte mon col, et je vais voir ailleurs
Mais je remonte mon col, j appuie sur le starter, j appuie sur le starter
M annon ant la nouvelle de son dernier combat, mais je remonte mon col, en buvant des caf s dans les stations-service
Quand on se tape la bascule en gommant nos ann es, je m arr te pour mater mes corbeaux qui d jeunent, et j imagine le rire de toutes nos cellules mortes
Et je me dis stop, j ai gard mon turbo pour d foncer les portes, mais je remonte mon col
Et je vais voir ailleurs, et je vais voir ailleurs, j appuie sur le starter
Et je me dis stop, pour appeler le d ment qui inventa l ennui jeudi, et je vais voir ailleurs
Et je mesure le temps qui nous apoplexie, j appuie sur le starter, mais je remonte mon col
et je vais voir ailleurs
et je mesure le temps qui nous apoplexie
il est bient t minuit mais je fais beaucoup plus jeune
Et me demandent si j ai pas des cachous pour la nuit, m annon ant la nouvelle de son dernier combat jeudi, et je me dis stop