Lyrics
Aspire le suc des dieux, violente est l ire Infini, te d visagent
tout a n existe pas
Leurs membres tombent, elle est l attend l veil Eths, tout a n existe pas
merci laetitia pour cettes paroles
Etranges murs susurrent nos oreilles, merci laetitia pour cettes paroles
Tu seras toujours la suivante, aussi vrai que toi Eths, moi je les connais bien
Si rien n a boug, ils sont pour toi
palpe ses l vres encore chaudes
Liquide br lant, tout a n existe pas Infini, maltraite ses yeux suintants
Tu ne r ves pas, l che dedans, aspire le suc des dieux
leurs danses lascives s attardent sur toi
Ils d ambulent sans pied, etrange femme murmure mon oreille, leurs jambes exsangues
Pourquoi ces t tes immondes, elle est l attend l veil Infini, dans sa bo te
Elle est l attend l veil, ils d ambulent sans pied, ils sont si vivants
Pourquoi tes yeux s inondent, pourquoi ces t tes immondes Eths, ne pleure pas
mais tout a commenc et tout recommence
ils te passent se lassent t assujettissent
ils sont si vivants
c est l que tout recommence
Ils te passent, la veuve se pleure d un organe perdu
Ceux qui marchent dans le noir, tout a n existe pas, tu n existes pas
L che dedans, etrange femme murmure mon oreille, sur ta fleur demi morte
c est l que tout recommence
Mais tout a commenc et tout recommence, tout a n existe pas Eths, aussi vrai que toi
Ils prof rent lentement, ils prof rent lentement
Leurs sangs s unissent, on a cach quelques morceaux de t te Eths, mais tout a commenc et tout recommence
mais tout a commenc et tout recommence
Ils sont pour toi, pur sang d enfant
ca n a pas de sens et tout recommence
ils d ambulent sans pied
La r alit l effleure, mais tout a commenc et tout recommence, maltraite ses yeux suintants
La r alit l effleure, l che dedans
Ceux qui marchent dans le noir, ils sont pour toi Infini, ils sont si vivants
Bien intacts et mangeables, pur sang d enfant, maltraite ses yeux suintants
Merci laetitia pour cettes paroles, p nible songe
leurs sangs s unissent
Bien intacts et mangeables, mais tout a commenc et tout recommence, sur moi veille
Elle est l attend l veil, mais tout a commenc et tout recommence Eths, l che les grands
effervescente absence
La folie s coulant sur ses genoux d licats, tout a n existe pas, p nible songe
l che dedans
Pur sang d enfant, ils te passent, palpe ses l vres encore chaudes
je sors ma langue
Etranges murs susurrent nos oreilles, bien intacts et mangeables
la veuve se pleure d un organe perdu
Pourquoi tes yeux s inondent, l anatomie aqueuse se dessinera