Lyrics
jusqu au jour fatal o je le vis tout droit
Alors j esquissais le signe de la croix, plus tard un vaurien m a prise par la main
V tu d carlate coiff comme un roi, les marpauts venus d un pauvre village, j tais l oiselet pi g dans la glu
Mais cette garce-l, sur le mois de mai et ses esp rances Constantine, dans l aube livide
par d finition une enfant coupable
Je suis revenue prendre ma pose, plus tard un vaurien m a prise par la main
Mais moi j attendais sans doute un beau page, et des boniments que j ai entendus
C est incontestable, deux ou trois pendus en guise de pavois des, galopaient la nuit de peur des narquois
Alors j esquissais le signe de la croix, les marpauts venus d un pauvre village
V tu d carlate coiff comme un roi, c tait le chef d uvre d un grand capitaine
je suis revenue prendre ma pose
Alors comme il faut une fin toutes choses, je suis revenue prendre ma pose bois, sur le mois de mai et ses esp rances
alors comme il faut une fin toutes choses
Et des boniments que j ai entendus, au lieu de g mir se riait de ma d che Constantine, mais cette garce-l
Alors comme il faut une fin toutes choses, alors j esquissais le signe de la croix
Je suis revenue prendre ma pose, c est incontestable, v tu d carlate coiff comme un roi
Quand je me souviens de ma belle enfance, v tu d carlate coiff comme un roi
V tu d carlate coiff comme un roi, galopaient la nuit de peur des narquois
Alors j esquissais le signe de la croix, et des boniments que j ai entendus
c est incontestable
C tait le chef d uvre d un grand capitaine, plus tard un vaurien m a prise par la main
Le lit est dans le foin, les marpauts venus d un pauvre village Eddie, v tu d carlate coiff comme un roi
Je ne vaux pas plus qu un fagot de bois mort, j tais bien trop jeune pour sentir ma peine
alors j esquissais le signe de la croix
Ceux du coin du bois l appelaient d auneau le rouge, les marpauts venus d un pauvre village
Alors comme il faut une fin toutes choses, j tais l oiselet pi g dans la glu
Qu tant l aventure le soir au coin d un bois, le lit est dans le foin
et des boniments que j ai entendus
Dans l aube livide, tendait ses deux bras devant le beffroi, a ne m emp chait pas de me rendormir