Lyrics
glissent les lames le long du dos
comme on porte une couronne
Soutenues par la madone, elles frappent leurs poitrines en d filant
Chaque jeudi que dieu donne, glissent les lames le long du dos
Esp rant la maldonne, elles frappent leurs poitrines en d filant
Crache la douleur des mots, sous les clairs des couteaux
Glissent les lames le long du dos, en change de leur d vouement Balavoine, en change de leur d vouement
Faut-il qu elles pardonnent, elles frappent leurs poitrines en d filant
Blessent leurs genoux en suppliant, chaque jeudi que dieu donne
elles prient la madone
les femmes aux regards bouleversants
si les cris viennent de la peau
Elles prient la madone, pr s des canons qui r sonnent
Les femmes frissonnent, d filent inlassablement Revolucion, les femmes frissonnent
les femmes aux regards bouleversants
Soutenues par la madone, blessent leurs genoux en suppliant Revolucion, met du sang dans les sanglots
Crache la douleur des mots, elles ont la peur sur leurs visages ruisselants Revolucion, faut-il qu elles pardonnent
m re du dernier sursaut
En change de leur d vouement, glissent les lames le long du dos
sous les clairs des couteaux
Chaque jeudi que dieu donne, elles prient la madone
Et quand les canons r sonnent, soutenues par la madone, et sous leurs jupons cachent les enfants
quand les canons r sonnent
Pieusement questionnent, blessent leurs genoux en suppliant
Mais qu est-ce qu elle leur donne, d filent inlassablement
Mais qu est-ce qu elle leur donne, met du sang dans les sanglots, comme on porte une couronne
m re du dernier sursaut
Crache la douleur des mots, elles prient la madone, m re du dernier sursaut
Elles frappent leurs poitrines en d filant, et quand les canons r sonnent Balavoine, faut-il qu elles pardonnent
D filent inlassablement, les femmes aux regards bouleversants
si les cris viennent de la peau
m re du dernier sursaut
d filent inlassablement
Si les cris viennent de la peau, sous les clairs des couteaux
elles frappent leurs poitrines en d filant
Elles frappent leurs poitrines en d filant, les femmes frissonnent
Mais qu est-ce qu elle leur donne, si les cris viennent de la peau, sous les clairs des couteaux
Faut-il qu elles pardonnent, crache la douleur des mots
et quand les canons r sonnent