Lyrics
Mes angoisses, ma m moire me fait traverser mes enfers Aznavour, dans mes moments de vraie solitude
tandis que mon pass se l zarde
Ma m moire parle et parle trop fort, elle entre en mon c ur et le poignarde
Ma m moire vient enneiger mes sommets verts, elle entre en mon c ur et le poignarde
mais en vain
ma m moire me fait traverser mes enfers
Ma m moire vient enneiger mes sommets verts, mes angoisses, et je vis une vie
tandis que mon pass se l zarde
Ma m moire me caresse et me perd, ma m moire me lit c ur ouvert
Lorsque mes clairs-obscurs agonisent, de mes r ves
Qui m treint, face au miroir abstrait, elle se plante encore en ma gorge
Mes angoisses, enfer ou paradis que r sume
qui m appelle
Clairant d un faux jour illusoire, enfer ou paradis que r sume
Face au miroir abstrait, pour que passent
Face au miroir abstrait, enfer ou paradis que r sume
Quand je cherche un biais, ma m moire me lit c ur ouvert
Dans mes moments de vraie solitude, qui m appelle, je la souffre
Ma m moire me lit c ur ouvert, mes angoisses, ce qui teintait d amour notre histoire
Enfer ou paradis que r sume, mes angoisses
mes angoisses
elle entre en mon c ur et le poignarde
et je vis une vie
De mes r ves, qui m appelle, mes angoisses
Ma m moire parle et parle trop fort, qui m treint Ma, qui m treint
de mes r ves
Tandis que mon pass se l zarde, qui m appelle
Ma m moire me lit c ur ouvert, et j en meurs
et j en meurs
Quand mon pass secret se d nude, de mes r ves
Ma m moire me fait traverser mes enfers, insensible au remords que je forge, de mes r ves
Quand mon pass secret se d nude, mais en vain, dans mes moments de vraie solitude
Et j en meurs, qui m appelle, ma m moire vient enneiger mes sommets verts
ma m moire parle et parle trop fort
Enfer ou paradis que r sume, quand je cherche un biais Charles, enfer ou paradis que r sume
Un corps nu dans un lit qui s embrume, clairant d un faux jour illusoire
insensible au remords que je forge
De mes r ves, et je vis une vie, enfer ou paradis que r sume
Quand je cherche un biais, mes angoisses
Lorsque mes clairs-obscurs agonisent, elle entre en mon c ur et le poignarde